Are you over 18 and want to see adult content?
More Annotations

Hair Extensions - Weaves - 100- Dyeable & styleable Hair
Are you over 18 and want to see adult content?

Imóveis, Apartamento, Casa para Venda e Aluguel - expoimovel.com
Are you over 18 and want to see adult content?

Digital Cameras, Lenses, Camcorders & Printers - Canon UK
Are you over 18 and want to see adult content?

Digital Marketing Training - Start a Digital Marketing Agency
Are you over 18 and want to see adult content?

Online Reservation Software - Hotel Booking Online - Reservationkey
Are you over 18 and want to see adult content?

Bienvenidos a Fundación Cinde Colombia
Are you over 18 and want to see adult content?

A complete backup of https://cfengine.com
Are you over 18 and want to see adult content?
Favourite Annotations

Transformation - New You 6 Week Challenge
Are you over 18 and want to see adult content?

Download Free Stock Images & Videos No Attribution Required
Are you over 18 and want to see adult content?

Iatropedia.gr- Όλα για την Υγεία και την Καλή Ζωή
Are you over 18 and want to see adult content?

Poder Judicial del Estado de Yucatán
Are you over 18 and want to see adult content?

Homepage - Royal Borough of Greenwich
Are you over 18 and want to see adult content?

Fondation BDA http---www.fondationbda.org
Are you over 18 and want to see adult content?

СекÑ-шоп Киев, интернет-магазин интимных товаров Табу
Are you over 18 and want to see adult content?
Text
déroulement
BOULE ET BILL « SÉQUENCES Résumé. Les parents du petit Boule, sept ans, emmènent leur fils dans un chenil choisir un chien. Bill, charmant cocker à poil roux, devient l’inséparable compagnon de l’enfant. Une tour d’habitation n’est toutefois pas l’endroit idéal pour avoir un chien. En quelques mots. CHARLIE CHAPLIN « SÉQUENCES Cela fera 40 ans ce 25 décembre qu’est décédé Charlie Chaplin , plein auteur de 66 films tournés entre 1914 et 1966 . Profitons-en pour rappeler brièvement la carrière de cet immense artiste, doublé d’un progressiste. Né à Londres le 16 avril 1889, le petit Charles connaît une enfance indigente. Charles père, absentet
LE CŒUR RÉGULIER « SÉQUENCES Le cœur régulier. 22 avril 2016. RÉSUMÉ SUCCINCT. Mariée et mère de deux adolescents, Alice contemple sa vie telle une spectatrice. Le retour de son frère Nathan, un jeune homme instable au passé suicidaire, lui apporte une joie très brève. À peine Nathan lui a-t-il confié avoir enfin rencontré l’amour au Japon qu’Alice se READY PLAYER ONE « SÉQUENCES En effet, Ready Player One sort à quelques mois seulement de The Post, une tradition commencée avec Jurassic Park et Schindler’s List (1993), qui se poursuit avec Catch Me If You Can et Minority Report (2002) ou War of the Worlds et Munich (2005). LES HARDINGS « SÉQUENCES Car Les Hardings, ce n’est pas une pièce dont on fait la critique comme c’est le cas pour un classique de la dramaturgie mondiale.Cet exercice va plus loin : essayer de décortiquer des mots aussi simples que « bonjour » en leur donnant un sens profond, SÉQUENCES – LA REVUE DE CINÉMATRANSLATE THIS PAGEEN COUVERTUREEN SALLEENTREVUESRECENSIONSÀ PROPOS DEABONNEMENTCHANGEDIRECTIONSWEBSITEDIRECTIONSWEBSITE On pioche pic pac pic pac dans la mine, le jour entier Maxime Labrecque. Avec Souterrain, Sophie Dupuis confirme qu’elle fait partie d’une vague de cinéastes qui incarne un renouveau cinématographique.Avec quatre courts métrages et un premier long remarqué, Chien de garde, la réalisatrice possède déjà une feuille de route enviable.. Apportant fraîcheur et vision au cinéma IL PLEUVAIT DES OISEAUX « SÉQUENCES Hymne à la vie et au choix face à la mort, ce long métrage remet en premier plan le vécu complexe des personnes âgées. La réalisatrice Louise Archambault manie avec dextérité les quatuors, trios et duos et nous sert une très belle scène délicieusement érotique laquelle on pouvait ne pas s’attendre. F I C H E. CONTACT « SÉQUENCES Pour de plus amples informations, contactez : RÉDACTEUR EN CHEF Jason Béliveau jason.beliveau@gmail.com. DIRECTEUR Yves Beauregard revue.cap-aux-diamants@hst.ulaval.ca YESTERDAY « SÉQUENCES Une séquence – la rencontre ente Jack Malik (Patel) et un des Beatles imaginé (on ne vous dira pas lequel) – se révèle fort émouvante. Finalement, on ne se lassera pas des nombreuses chansons du groupe évoquées, dont, bien entendu, Yesterday. Agréable du AMERICAN ANIMALS « SÉQUENCES C’est de cela qu’il est question dans American Animals, un film qui se construit au fur et à mesure que se déroule ce récit, en apparence, alambiqué mais qui en fait étale d’une séquence l’autre une émouvante authenticité. Les vrais personnages de cette histoire véridique se juxtaposent aux acteurs, apportant audéroulement
BOULE ET BILL « SÉQUENCES Résumé. Les parents du petit Boule, sept ans, emmènent leur fils dans un chenil choisir un chien. Bill, charmant cocker à poil roux, devient l’inséparable compagnon de l’enfant. Une tour d’habitation n’est toutefois pas l’endroit idéal pour avoir un chien. En quelques mots. CHARLIE CHAPLIN « SÉQUENCES Cela fera 40 ans ce 25 décembre qu’est décédé Charlie Chaplin , plein auteur de 66 films tournés entre 1914 et 1966 . Profitons-en pour rappeler brièvement la carrière de cet immense artiste, doublé d’un progressiste. Né à Londres le 16 avril 1889, le petit Charles connaît une enfance indigente. Charles père, absentet
LE CŒUR RÉGULIER « SÉQUENCES Le cœur régulier. 22 avril 2016. RÉSUMÉ SUCCINCT. Mariée et mère de deux adolescents, Alice contemple sa vie telle une spectatrice. Le retour de son frère Nathan, un jeune homme instable au passé suicidaire, lui apporte une joie très brève. À peine Nathan lui a-t-il confié avoir enfin rencontré l’amour au Japon qu’Alice se READY PLAYER ONE « SÉQUENCES En effet, Ready Player One sort à quelques mois seulement de The Post, une tradition commencée avec Jurassic Park et Schindler’s List (1993), qui se poursuit avec Catch Me If You Can et Minority Report (2002) ou War of the Worlds et Munich (2005). LES HARDINGS « SÉQUENCES Car Les Hardings, ce n’est pas une pièce dont on fait la critique comme c’est le cas pour un classique de la dramaturgie mondiale.Cet exercice va plus loin : essayer de décortiquer des mots aussi simples que « bonjour » en leur donnant un sens profond, SOMMAIRE - SÉQUENCES SOMMAIRE 2 MOT DE LA RÉDACTION Fatigue et enchantement 3 NOS MEILLEURS FILMS DE 2020 18 CINÉMAS D’AUTEURS EN RAPPEL GROS PLANS 18 Souterrain On pioche pic pac pic pac LES FILMS - SÉQUENCES SÉQUENCES 285 | JUILLET — AOÛT 2013 SOMMAIRE 30 Flash back Van Gogh > L’illustre inconnu 32 Hors-champ Dark Blood > Trop fugace Phoenix LES FILMS 36 En couverture The Grandmaster > Rivière de splendeurs | Wong Kar- wai > Ivresses 40 Gros plan SOMMAIRE - SÉQUENCES SOMMAIRE 2 MOT DE LA RÉDACTION Critique état des lieux 4 COUVERTURE Genèse Approximations ontologiques 6 PHILIPPE LESAGE « Mes films sont parsemés d’idées LES FILMS - REVUESEQUENCES.ORG 3 MOT DE LA RÉDACTION Humeurs estivales 5 DOSSIER Le cinéma à La pLage mLe is age nsagaruéef s >v Ragi neé csi moatgapr qhui es | Rohmer à la plage | LecturesMaurice Ronet, le : splendide désenchantéSimone Signoret, une star, LES FILMS - REVUESEQUENCES.ORG Panoramique 1 Mot de la rédaction Signes progressifs d’évolution 4 Manifestations Festival du nouveau cinéma | Festival du cinéma inter- national en Abitibi-Témiscamingue | Image+Nation | Festival LES FILMS - REVUESEQUENCES.ORG SéquenceS 287 | novembre — décembre 2013 SommAIre 31 Flashback L’Humanité > retour sur une controverse 32 Hors-champ L’Apollonide – Souvenirs de la maison close > beautés lasses | La Religieuse > La grâce et le démon | guillaume nicloux > Un ailleurspossible
AIRE MM SO
Mot de la rédaction 2 Se souvenir des belles choses en couverture 4 Cinéma et radiCaliSation la gestation nocive de l’idéologie | Made in France > Une guerre sainte et ses illusions | nicolas Boukhrief > Une question de prise de conscience morale STHE WHITE CROW
sommaire 2 mot de la rÉdaction modulations de fréquences 4 couverture marathon man john schlesinger 10 cinÉmas d’auteurs gros plan leto SÉQUENCES(N O MARS—AVRIL2009 ) SOMMAIRE SÉQUENCES 259 MARS-AVRIL 2009 SOMMAIRE SÉQUENCES(N o 259 | MARS—AVRIL2009 ) 34 EN COUVERTURE Jean-PhilippeDuval>« Lecinémaestunlieud’expressiontrèspersonnel » 38 GROS PLANJemesouviens
>Setirerdifficilementdel’oubli|AndréForcier>«Jeneprétendspasàl’objectivité» 40 CRITIQUES Caoscalmo >Transpositionmalheureuse|TheCuriousCaseofBenjaminButton LES FILMS PANORAMIQUE 2 MOT DE LA RÉDACTION Toujours présents à l’appel EN COUVERTURE 3 MaxiMe Giroux Félix et Meira > Le charme discret de la transgression Maxime Giroux > « J’ai osé avec ce film et ce personnage des choses que je ne m’étais jamais permises auparavant » | SÉQUENCES – LA REVUE DE CINÉMATRANSLATE THIS PAGEEN COUVERTUREEN SALLEENTREVUESRECENSIONSÀ PROPOS DEABONNEMENTCHANGEDIRECTIONSWEBSITEDIRECTIONSWEBSITE On pioche pic pac pic pac dans la mine, le jour entier Maxime Labrecque. Avec Souterrain, Sophie Dupuis confirme qu’elle fait partie d’une vague de cinéastes qui incarne un renouveau cinématographique.Avec quatre courts métrages et un premier long remarqué, Chien de garde, la réalisatrice possède déjà une feuille de route enviable.. Apportant fraîcheur et vision au cinéma IL PLEUVAIT DES OISEAUX « SÉQUENCES Hymne à la vie et au choix face à la mort, ce long métrage remet en premier plan le vécu complexe des personnes âgées. La réalisatrice Louise Archambault manie avec dextérité les quatuors, trios et duos et nous sert une très belle scène délicieusement érotique laquelle on pouvait ne pas s’attendre. F I C H E. CONTACT « SÉQUENCES Pour de plus amples informations, contactez : RÉDACTEUR EN CHEF Jason Béliveau jason.beliveau@gmail.com. DIRECTEUR Yves Beauregard revue.cap-aux-diamants@hst.ulaval.ca YESTERDAY « SÉQUENCES Une séquence – la rencontre ente Jack Malik (Patel) et un des Beatles imaginé (on ne vous dira pas lequel) – se révèle fort émouvante. Finalement, on ne se lassera pas des nombreuses chansons du groupe évoquées, dont, bien entendu, Yesterday. Agréable du AMERICAN ANIMALS « SÉQUENCES C’est de cela qu’il est question dans American Animals, un film qui se construit au fur et à mesure que se déroule ce récit, en apparence, alambiqué mais qui en fait étale d’une séquence l’autre une émouvante authenticité. Les vrais personnages de cette histoire véridique se juxtaposent aux acteurs, apportant audéroulement
BOULE ET BILL « SÉQUENCES Résumé. Les parents du petit Boule, sept ans, emmènent leur fils dans un chenil choisir un chien. Bill, charmant cocker à poil roux, devient l’inséparable compagnon de l’enfant. Une tour d’habitation n’est toutefois pas l’endroit idéal pour avoir un chien. En quelques mots. CHARLIE CHAPLIN « SÉQUENCES Cela fera 40 ans ce 25 décembre qu’est décédé Charlie Chaplin , plein auteur de 66 films tournés entre 1914 et 1966 . Profitons-en pour rappeler brièvement la carrière de cet immense artiste, doublé d’un progressiste. Né à Londres le 16 avril 1889, le petit Charles connaît une enfance indigente. Charles père, absentet
LE CŒUR RÉGULIER « SÉQUENCES Le cœur régulier. 22 avril 2016. RÉSUMÉ SUCCINCT. Mariée et mère de deux adolescents, Alice contemple sa vie telle une spectatrice. Le retour de son frère Nathan, un jeune homme instable au passé suicidaire, lui apporte une joie très brève. À peine Nathan lui a-t-il confié avoir enfin rencontré l’amour au Japon qu’Alice se READY PLAYER ONE « SÉQUENCES En effet, Ready Player One sort à quelques mois seulement de The Post, une tradition commencée avec Jurassic Park et Schindler’s List (1993), qui se poursuit avec Catch Me If You Can et Minority Report (2002) ou War of the Worlds et Munich (2005). LES HARDINGS « SÉQUENCES Car Les Hardings, ce n’est pas une pièce dont on fait la critique comme c’est le cas pour un classique de la dramaturgie mondiale.Cet exercice va plus loin : essayer de décortiquer des mots aussi simples que « bonjour » en leur donnant un sens profond, SÉQUENCES – LA REVUE DE CINÉMATRANSLATE THIS PAGEEN COUVERTUREEN SALLEENTREVUESRECENSIONSÀ PROPOS DEABONNEMENTCHANGEDIRECTIONSWEBSITEDIRECTIONSWEBSITE On pioche pic pac pic pac dans la mine, le jour entier Maxime Labrecque. Avec Souterrain, Sophie Dupuis confirme qu’elle fait partie d’une vague de cinéastes qui incarne un renouveau cinématographique.Avec quatre courts métrages et un premier long remarqué, Chien de garde, la réalisatrice possède déjà une feuille de route enviable.. Apportant fraîcheur et vision au cinéma IL PLEUVAIT DES OISEAUX « SÉQUENCES Hymne à la vie et au choix face à la mort, ce long métrage remet en premier plan le vécu complexe des personnes âgées. La réalisatrice Louise Archambault manie avec dextérité les quatuors, trios et duos et nous sert une très belle scène délicieusement érotique laquelle on pouvait ne pas s’attendre. F I C H E. CONTACT « SÉQUENCES Pour de plus amples informations, contactez : RÉDACTEUR EN CHEF Jason Béliveau jason.beliveau@gmail.com. DIRECTEUR Yves Beauregard revue.cap-aux-diamants@hst.ulaval.ca YESTERDAY « SÉQUENCES Une séquence – la rencontre ente Jack Malik (Patel) et un des Beatles imaginé (on ne vous dira pas lequel) – se révèle fort émouvante. Finalement, on ne se lassera pas des nombreuses chansons du groupe évoquées, dont, bien entendu, Yesterday. Agréable du AMERICAN ANIMALS « SÉQUENCES C’est de cela qu’il est question dans American Animals, un film qui se construit au fur et à mesure que se déroule ce récit, en apparence, alambiqué mais qui en fait étale d’une séquence l’autre une émouvante authenticité. Les vrais personnages de cette histoire véridique se juxtaposent aux acteurs, apportant audéroulement
BOULE ET BILL « SÉQUENCES Résumé. Les parents du petit Boule, sept ans, emmènent leur fils dans un chenil choisir un chien. Bill, charmant cocker à poil roux, devient l’inséparable compagnon de l’enfant. Une tour d’habitation n’est toutefois pas l’endroit idéal pour avoir un chien. En quelques mots. CHARLIE CHAPLIN « SÉQUENCES Cela fera 40 ans ce 25 décembre qu’est décédé Charlie Chaplin , plein auteur de 66 films tournés entre 1914 et 1966 . Profitons-en pour rappeler brièvement la carrière de cet immense artiste, doublé d’un progressiste. Né à Londres le 16 avril 1889, le petit Charles connaît une enfance indigente. Charles père, absentet
LE CŒUR RÉGULIER « SÉQUENCES Le cœur régulier. 22 avril 2016. RÉSUMÉ SUCCINCT. Mariée et mère de deux adolescents, Alice contemple sa vie telle une spectatrice. Le retour de son frère Nathan, un jeune homme instable au passé suicidaire, lui apporte une joie très brève. À peine Nathan lui a-t-il confié avoir enfin rencontré l’amour au Japon qu’Alice se READY PLAYER ONE « SÉQUENCES En effet, Ready Player One sort à quelques mois seulement de The Post, une tradition commencée avec Jurassic Park et Schindler’s List (1993), qui se poursuit avec Catch Me If You Can et Minority Report (2002) ou War of the Worlds et Munich (2005). LES HARDINGS « SÉQUENCES Car Les Hardings, ce n’est pas une pièce dont on fait la critique comme c’est le cas pour un classique de la dramaturgie mondiale.Cet exercice va plus loin : essayer de décortiquer des mots aussi simples que « bonjour » en leur donnant un sens profond, SOMMAIRE - SÉQUENCES SOMMAIRE 2 MOT DE LA RÉDACTION Fatigue et enchantement 3 NOS MEILLEURS FILMS DE 2020 18 CINÉMAS D’AUTEURS EN RAPPEL GROS PLANS 18 Souterrain On pioche pic pac pic pac LES FILMS - SÉQUENCES SÉQUENCES 285 | JUILLET — AOÛT 2013 SOMMAIRE 30 Flash back Van Gogh > L’illustre inconnu 32 Hors-champ Dark Blood > Trop fugace Phoenix LES FILMS 36 En couverture The Grandmaster > Rivière de splendeurs | Wong Kar- wai > Ivresses 40 Gros plan SOMMAIRE - SÉQUENCES SOMMAIRE 2 MOT DE LA RÉDACTION Critique état des lieux 4 COUVERTURE Genèse Approximations ontologiques 6 PHILIPPE LESAGE « Mes films sont parsemés d’idées LES FILMS - REVUESEQUENCES.ORG 3 MOT DE LA RÉDACTION Humeurs estivales 5 DOSSIER Le cinéma à La pLage mLe is age nsagaruéef s >v Ragi neé csi moatgapr qhui es | Rohmer à la plage | LecturesMaurice Ronet, le : splendide désenchantéSimone Signoret, une star, LES FILMS - REVUESEQUENCES.ORG Panoramique 1 Mot de la rédaction Signes progressifs d’évolution 4 Manifestations Festival du nouveau cinéma | Festival du cinéma inter- national en Abitibi-Témiscamingue | Image+Nation | Festival LES FILMS - REVUESEQUENCES.ORG SéquenceS 287 | novembre — décembre 2013 SommAIre 31 Flashback L’Humanité > retour sur une controverse 32 Hors-champ L’Apollonide – Souvenirs de la maison close > beautés lasses | La Religieuse > La grâce et le démon | guillaume nicloux > Un ailleurspossible
AIRE MM SO
Mot de la rédaction 2 Se souvenir des belles choses en couverture 4 Cinéma et radiCaliSation la gestation nocive de l’idéologie | Made in France > Une guerre sainte et ses illusions | nicolas Boukhrief > Une question de prise de conscience morale STHE WHITE CROW
sommaire 2 mot de la rÉdaction modulations de fréquences 4 couverture marathon man john schlesinger 10 cinÉmas d’auteurs gros plan leto SÉQUENCES(N O MARS—AVRIL2009 ) SOMMAIRE SÉQUENCES 259 MARS-AVRIL 2009 SOMMAIRE SÉQUENCES(N o 259 | MARS—AVRIL2009 ) 34 EN COUVERTURE Jean-PhilippeDuval>« Lecinémaestunlieud’expressiontrèspersonnel » 38 GROS PLANJemesouviens
>Setirerdifficilementdel’oubli|AndréForcier>«Jeneprétendspasàl’objectivité» 40 CRITIQUES Caoscalmo >Transpositionmalheureuse|TheCuriousCaseofBenjaminButton LES FILMS PANORAMIQUE 2 MOT DE LA RÉDACTION Toujours présents à l’appel EN COUVERTURE 3 MaxiMe Giroux Félix et Meira > Le charme discret de la transgression Maxime Giroux > « J’ai osé avec ce film et ce personnage des choses que je ne m’étais jamais permises auparavant » | SÉQUENCES – LA REVUE DE CINÉMATRANSLATE THIS PAGEEN COUVERTUREEN SALLEENTREVUESRECENSIONSÀ PROPOS DEABONNEMENTCHANGEDIRECTIONSWEBSITEDIRECTIONSWEBSITE On pioche pic pac pic pac dans la mine, le jour entier Maxime Labrecque. Avec Souterrain, Sophie Dupuis confirme qu’elle fait partie d’une vague de cinéastes qui incarne un renouveau cinématographique.Avec quatre courts métrages et un premier long remarqué, Chien de garde, la réalisatrice possède déjà une feuille de route enviable.. Apportant fraîcheur et vision au cinéma CONTACT « SÉQUENCES Pour de plus amples informations, contactez : RÉDACTEUR EN CHEF Jason Béliveau jason.beliveau@gmail.com. DIRECTEUR Yves Beauregard revue.cap-aux-diamants@hst.ulaval.ca IL PLEUVAIT DES OISEAUX « SÉQUENCES RÉSUMÉ SUCCINCT Tom, Charlie et Boychuck vivent leurs vieux jours en ermites dans la forêt de l’Abitibi-Témiscamingue. La seule personne qui connaît l’emplacement de leur refuge est le tenancier d’un hôtel peu fréquenté des environs. YESTERDAY « SÉQUENCES PRIMEUR | Semaine 26 | Du 28 juin au 4 juillet 2019 RÉSUMÉ SUCCINCT Hier, tout le monde connaissait The Beatles. Aujourd’hui, seul Jack se souvient de leurs chansons. Il a soudain une idée. AMERICAN ANIMALS « SÉQUENCES Il y a quelque chose d’hétéroclite et d’éclaté dans cette fiction sur une Amérique vibrant au son d’une adolescence (voire jeunesse) éternelle, le rêve d’immortalité à l’intérieur d’un pays qui semble avoir été créé par les Dieux, où tout estpossible.
CHARLIE CHAPLIN « SÉQUENCES COURRIER DU LECTEUR NON, CHAPLIN N’A JAMAIS ÉTÉ UN MOUTON DE PANURGE _ Sylvio Le Blanc. Cela fera 40 ans ce 25 décembre qu’est décédé Charlie Chaplin , plein auteur de 66 films tournés entre 1914 et 1966 .Profitons-en pour rappeler brièvement la carrière de cet immense artiste, doublé d’un progressiste. BOULE ET BILL « SÉQUENCES Sortie : Vendredi 16 août 2013 V.o. : Français. COMÉDIE | Origine : France / Luxembourg / Belgique – Année : 2013 – Durée : 1 h 22 – Réal. : Alexandre LE CŒUR RÉGULIER « SÉQUENCES RÉSUMÉ SUCCINCT Mariée et mère de deux adolescents, Alice contemple sa vie telle une spectatrice. Le retour de son frère Nathan, un jeune homme instable au passé suicidaire, lui apporte une joie très brève. À peine Nathan lui a-t-il confié avoir enfin rencontré l’amour au Japon qu’Alice se braque et Nathan la quitte sous le coup de la colère. GREEN BOOK « SÉQUENCES RÉSUMÉ SUCCINCT Quand Tony Lip, un videur du quartier italo-américain du Bronx, est embauché pour conduire Dr Don Shirley, un pianiste noir de calibre mondial, en tournée de concerts de Manhattan jusqu’au sud profond, ils doivent se fier au «livre de Green» manuel qui les guidera vers les rares établissements de l’époque où on acceptait les Afro-américains. READY PLAYER ONE « SÉQUENCES CRITIQUE | André Caron | VIENS JOUER AVEC NOUS, DANNY ! Il fallait bien un cinéaste de 71 ans comme Spielberg pour concevoir un film aussi jeune et aussi vivifiant, qui prend comme toile de fond l’univers des jeux vidéo et qui table à fond sur les références aux années 1980 et 1990, sans pour autant oublier d’être touchant lorsqu’il le faut. SÉQUENCES – LA REVUE DE CINÉMATRANSLATE THIS PAGEEN COUVERTUREEN SALLEENTREVUESRECENSIONSÀ PROPOS DEABONNEMENTCHANGEDIRECTIONSWEBSITEDIRECTIONSWEBSITE On pioche pic pac pic pac dans la mine, le jour entier Maxime Labrecque. Avec Souterrain, Sophie Dupuis confirme qu’elle fait partie d’une vague de cinéastes qui incarne un renouveau cinématographique.Avec quatre courts métrages et un premier long remarqué, Chien de garde, la réalisatrice possède déjà une feuille de route enviable.. Apportant fraîcheur et vision au cinéma CONTACT « SÉQUENCES Pour de plus amples informations, contactez : RÉDACTEUR EN CHEF Jason Béliveau jason.beliveau@gmail.com. DIRECTEUR Yves Beauregard revue.cap-aux-diamants@hst.ulaval.ca IL PLEUVAIT DES OISEAUX « SÉQUENCES RÉSUMÉ SUCCINCT Tom, Charlie et Boychuck vivent leurs vieux jours en ermites dans la forêt de l’Abitibi-Témiscamingue. La seule personne qui connaît l’emplacement de leur refuge est le tenancier d’un hôtel peu fréquenté des environs. YESTERDAY « SÉQUENCES PRIMEUR | Semaine 26 | Du 28 juin au 4 juillet 2019 RÉSUMÉ SUCCINCT Hier, tout le monde connaissait The Beatles. Aujourd’hui, seul Jack se souvient de leurs chansons. Il a soudain une idée. AMERICAN ANIMALS « SÉQUENCES Il y a quelque chose d’hétéroclite et d’éclaté dans cette fiction sur une Amérique vibrant au son d’une adolescence (voire jeunesse) éternelle, le rêve d’immortalité à l’intérieur d’un pays qui semble avoir été créé par les Dieux, où tout estpossible.
CHARLIE CHAPLIN « SÉQUENCES COURRIER DU LECTEUR NON, CHAPLIN N’A JAMAIS ÉTÉ UN MOUTON DE PANURGE _ Sylvio Le Blanc. Cela fera 40 ans ce 25 décembre qu’est décédé Charlie Chaplin , plein auteur de 66 films tournés entre 1914 et 1966 .Profitons-en pour rappeler brièvement la carrière de cet immense artiste, doublé d’un progressiste. BOULE ET BILL « SÉQUENCES Sortie : Vendredi 16 août 2013 V.o. : Français. COMÉDIE | Origine : France / Luxembourg / Belgique – Année : 2013 – Durée : 1 h 22 – Réal. : Alexandre LE CŒUR RÉGULIER « SÉQUENCES RÉSUMÉ SUCCINCT Mariée et mère de deux adolescents, Alice contemple sa vie telle une spectatrice. Le retour de son frère Nathan, un jeune homme instable au passé suicidaire, lui apporte une joie très brève. À peine Nathan lui a-t-il confié avoir enfin rencontré l’amour au Japon qu’Alice se braque et Nathan la quitte sous le coup de la colère. GREEN BOOK « SÉQUENCES RÉSUMÉ SUCCINCT Quand Tony Lip, un videur du quartier italo-américain du Bronx, est embauché pour conduire Dr Don Shirley, un pianiste noir de calibre mondial, en tournée de concerts de Manhattan jusqu’au sud profond, ils doivent se fier au «livre de Green» manuel qui les guidera vers les rares établissements de l’époque où on acceptait les Afro-américains. READY PLAYER ONE « SÉQUENCES CRITIQUE | André Caron | VIENS JOUER AVEC NOUS, DANNY ! Il fallait bien un cinéaste de 71 ans comme Spielberg pour concevoir un film aussi jeune et aussi vivifiant, qui prend comme toile de fond l’univers des jeux vidéo et qui table à fond sur les références aux années 1980 et 1990, sans pour autant oublier d’être touchant lorsqu’il le faut. ABONNEMENT « SÉQUENCES C.P. 26, Succ.Haute-Ville Québec, QC G1R 4M8 Canada Téléphone : (418) 656-5040 revue.sequences@hst.ulaval.ca ABONNEMENT VERSION PAPIER LES SIFFLEURS « SÉQUENCES Crimes et sifflements Jérôme Michaud. Siffloter sa chanson préférée avec élégance n’est pas l’apanage de tous, mais il faut dire que l’on a rarement à le faire, les soirées endiablées de karaoké ne demandant pas d’entrer dans ce genre de technicalité, qui redonnerait pourtant un peu de lustre aux classiques souvent maltraités au petit matin. KUESSIPAN « SÉQUENCES RÉSUMÉ SUCCINCT Mikuan grandit avec son frère auprès de sa famille aimante sur la réserve innue de Uashat, sur la Côte-Nord, au Québec. De son côté, Shaniss, une enfant du voisinage, n’a pasautant de chance.
THE FLORIDA PROJECT « SÉQUENCES RÉSUMÉ SUCCINCT Moonee n’a que six ans et vit dans une chambre de motel avec sa mère. Profitant du manque de surveillance, elle décide de faire les quatre cents coups avec une bande de gamins de son âge. THE FIRST PURGE « SÉQUENCES Ici, les Bad guys sont les blancs (Trump et sa politique); les Noirs aussi le sont parfois : c’est peut-être le seul moyen qu’ils ont de se débrouiller dans une Amérique qui ne donnent pas les mêmes chances à tous. D’où l’utopie d’un rêve américain qui n’a jamais existé. Un film intentionnellement déséquilibré dans sa forme, soutenu par la caméra d’Anastas N. Michos THE BUTLER « SÉQUENCES Sortie : Vendredi 16 août 2013 V.o. : Anglais V.f. – Le Majordome DRAME | Origine : États-Unis – Année : 2013 – Durée : 2 h 12 – Réal. : Lee Daniels READY PLAYER ONE « SÉQUENCES CRITIQUE | André Caron | VIENS JOUER AVEC NOUS, DANNY ! Il fallait bien un cinéaste de 71 ans comme Spielberg pour concevoir un film aussi jeune et aussi vivifiant, qui prend comme toile de fond l’univers des jeux vidéo et qui table à fond sur les références aux années 1980 et 1990, sans pour autant oublier d’être touchant lorsqu’il le faut. THE FIFTH ESTATE « SÉQUENCES Résumé À la suite d’une rencontre à Berlin, Julian Assange, fondateur de Wikileaks, s’associe avec Daniel Domscheit-Berg, un informaticien de talent prêt à s’investir pour traquer les agissements des privilégiés et des tout-puissants. À l’aide d’un site Internet accessible par des serveurs fantômes, ils sollicitent l’aide de dénonciateurs anonymes pour diffuser des LES INVISIBLES « SÉQUENCES |PRIMEUR | Semaine 19 Du 10 au 16 mai 2019. RÉSUMÉ SUCCINCT L’Envol, un centre d’accueil pour femmes sans-abri situé Anzin, dans le Nord-Pas-de-Calais, se voit dans l’obligation defermer ses portes.
MONSIEUR IBRAHIM ET LES FLEURS DU CORAN « …TRANSLATE THIS PAGE Sur les planches du TNM, deux ans plus tard, il nous emporte, nous faisant oublier les quelques petites failles de micro tant les mots sont si simples et pourtant évocateurs d’ouverture d’esprit, de tolérance, de partage et de valeurs familiales, par les temps qui courent effritées par un quelconque égocentrisme probablement issu du capitalisme sauvage ou du confort que suscite le SÉQUENCES – LA REVUE DE CINÉMA* À propos de…
* Abonnement
* Anciens numéros
* Contact
* Accueil
* En couverture
* En salle
* Entrevues
* Recensions
ARTICLES RÉCENTS
SÉQUENCES À LA BERLINALE 20201er mars 2020
LES PRIX
ANNE-CHRISTINE LORANGER There is no Evil de Mohammad Rasoulof La Berlinale 2020 aura représenté une variation sur le thème du mal de tête aux nouveaux directeurs Carlo Chatrian et Mariette Rissenbeek. Non seulement ils eurent à faire avec un événement international au milieu d’une épidémie, mais aussi à transiger, deux semaines avant l’ouverture, avec la découverte du passé nazi du respecté Alfred Bauer, directeur de la Berlinale de 1951 à 1976, et le changement subséquent de l’Ours d’argent attaché à son nom. Puis il y eut la tuerie néo-nazie de Hanau à la veille de l’ouverture, ce qui changea passablement le ton de cette dernière. Puis les problèmes liés au changement de direction du Berlinale Palast, où se trouvaient plusieurs salles de presse réservées aux équipes de radio et télédiffusion, et qu’on a dû déplacer beaucoup plus loin. Sans compter la coquille vide du centre d’achats Arcade en rénovation, dont l’aire de restauration représentait un haut lieu de rencontres et d’échanges autour des célèbres currywursts berlinoises.
Cela n’a pas empêché de beaux moments de cinéma, mais les réjouissances ont été tempérées par les crises qui ravagent la planète, et ceci malgré le fait que la Berlinale est le plus politique de tous les festivals de cinéma. Les prix décernés en ce 70e anniversaire par le Jury présidé par Jeremy Irons ont donc particulièrement récompensé les films portant sur des questions socio-économiques brûlantes. Foin d_‘UNDINE_ et autres _SCHWESTERLEIN_ pour recevoir l’Ours d’or. C’est _SHEYTAN VOJUD NADARAD_ (_THERE IS NO EVIL_) du cinéaste iranien Mohammad Rasoulof qui a récolté l’Ours, en plus d’avoir reçu en avant-midi le Prix de la Guilde du cinéma et le Prix œcuménique. Le film est composé de quatre court-métrages sur la peine de mort en Iran, particulièrement sur ses exécutants et montre, selon Jeremy Irons, la toile qu’un régime autoritaire tisse parmi les gens ordinaires, les attirant vers l’inhumanité ». Selon les groupe d’activistes internationaux, des centaines de personnes sont exécutées chaque année en Iran. Interdit de voyage et de travail comme son compatriote Jafar Panahi, également récipiendaire de l’Ours d’or en 2015 pour _TAXI TÉHÉRAN_, Mohammed Rassoulof n’a pu être présent pour la présentation de son film, ni pour la remise des prix. Le miracle de la technique a cependant permis de le rejoindre et de le voir par téléphone lors de la conférence de presse, pour entendre ses impressions. « Chaque être humain doit assurer la responsabilité de ses actes » a-t-il déclaré. « Quand la justification d’une personne pour ses actes vient de l’extérieur, d’une puissance supérieure, cela est toujours dangereux. Vous pouvez essayer de mettre de côté votre propre responsabilité et de faire porter le chapeau au gouvernement… mais peuvent dire non. » (voir la revue du film au jour 9)
Choix politique, bien sûr, mais également choix démocratique dans l’attribution du Grand Prix du Jury à l’excellent _NEVER RARELY SOMETIMES ALWAYS_ d’Eliza Hitman, l’un des films préférés de la presse internationale (voir jour 8).
Ce choix sera sans doute pris comme une claque dans la figure du Parti Républicain des États-Unis, qui cherche à abolir Roe vs Wade, la décision de la Cour Suprême qui donna le droit à l’avortement. Tant mieux! Autre choix social du Jury, _FAVOLACCE_ (_VILAINES HISTOIRES_) des frères italiens Fabio et Damiano D’Innocenzo a reçu l’Ours d’argent du meilleur scénario. Le film porte sur des familles vivant en marge dans les faubourgs pauvres de Rome. À travers tout cela, la décision de donner au cinéaste coréen Hong Sang-soo l’Ours du meilleur directeur pour _THE WOMAN WHO RAN_ (voirjour 6
),
en est une de pur amour du cinéma. Peu connu au Québec, les films de Hong Sang-soo mettent en scène des femmes fortes et des situations complexes et incertaines (voir l’article de couverture _Une cigarette avec Hong Sang-soo_, Séquences n. 308, mai-juin 2017). C’est un beau choix, salué par la critique. Les Ours des meilleurs acteurs ont été attribué à Paula Beer, la magnifique interprète d’_UNDINE _(_ONDINE_) de Christian Petzold (voir jour 4) et à Elio Germano pour son extraordinaire performance dans _VOLEVO NASCONDERMI_ (_HIDDEN AWAY_) de Giorgio Diritti (voir jour 6). Encore là, des préférés de la critique. Le prix de la 70e Berlinale – anciennement le prix Alfred-Bauer, qui récompense des avancées dans le cinéma a récompensé (oh! bonheur) les cinéastes français Benoit Delépine et Gustav Kervern pour _EFFACER L’HISTORIQUE_ (voir jour 5).
Juste décision puisque ce film ouvre des perspectives sur l’utilisation de l’humour pour dénoncer les dramatiques situations sociales engendrées par l’invasion technologique des GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple) par l’intermédiaire de leurs téléphones et média sociaux. Finalement, la décision d’attribuer un Ours d’argent au directeur photo Jürgen Jürges pour la cinématographie de _DAU. NATASHA_ (voirjours 7
et 8
)
peut être considérée comme courageuse ou insensée, selon le point de vue qu’on a sur le projet. Le travail de cinématographie et d’éclairage de Jürges est effectivement remarquable. Ce n’est donc pas au Jury qu’on devrait s’en prendre mais plutôt à la décision des directeurs Carlo Chatrian et Mariette Rissenbeek de mettre un tel film en Compétition. Deux de nos collègues russes la Berlinale ont d’ailleurs fait parvenir une lettre aux directeurs à ce sujet. Espérons que ce débat important pour l’avenir de l’art en général et du cinéma en particulier sera porteur de réflexion. Vous pouvez consulter la lettre à partir du liensuivant :
> An open letter to Carlo Chatrian and Mariette Rissenbeek from > accredited Russian members of the Berlinale press>
MÉMORABILIA
Poser une question à Hillary Rodham Clinton. Montrer à Omar Sy le chemin de son hôtel. Rencontrer devant l’hôtel Hyatt les charmants acteurs iraniens du film gagnant de l’Ours d’or. L’excellent cappuccino au lait d’avoine du Café Einstein en salle de presse. Rigoler avec Benoit Delépine et Gustav Kervern. Les délicieuses pommes croquantes de la compagnie Kanzi offertes aux visiteurs et journalistes. Se retrouver dans le film documentaire d’AbelFerrara.
Publié dans En couverture SÉQUENCES À LA BERLINALE 2020 JOUR 10 – LE QUÉBEC, ADORÉ ET OURSINÉ ANNE-CHRISTINE LORANGER Goodbye Golovin de Mathieu Grimard La journée d’hier s’est terminée chouettement avec une mention spéciale pour le court-métrage de Mathieu Grimard, _GOODBYE GOLOVIN,_ dans la section Génération 14plus, confirmant la mainmise du Québec dans le cinéma pour jeunes. C’est la quatrième année en ligne qu’un prix est décerné à un film québécois, après ceux de GENEVIÈVE DULUDE-DE CELLES (_UNE COLONIE_, 2019), Luc Picard (_LES ROIS MONGOLS_, 2018) et Sandrine Brodeur-Desrosiers (_JUSTE MOI ET TOI_, 2018), sans compter la mention spéciale de MATHIEU DENIS ET SIMON LAVOIE EN 2017 POUR _CEUX QUI FONT LES RÉVOLUTIONS À MOITIÉ N’ONT FAIT QUE SE CREUSER UN TOMBEAU_. Rappelons que Philippe Falardeau l’avait également gagné en 2008 avec _C’EST PAS MOI, JE LE JURE!_ André Melançon peut se reposer tranquille, sa descendance est assurée. Les projections en Compétition s’étant terminées hier, c’est le temps de profiter des autres sections ! Berlinale Séries présentait pour la première fois une série québécoise. Revenant aux années 70, à son esthétique et à son innocence, _C’EST COMME ÇA QUE JE T’AIME_ de François Létourneau et Jean-François Rivard est une réflexion désopilante sur le couple, un bijou d’humour, de dialogues surréalistes et de détours inattendus. Les deux épisodes présentés à Berlin montraient une histoire qui se tient sur elle-même par la seule force de son style : le public berlinois en riait encore à la sortie du cinéma. Une petite merveille en dix épisodes diffusés au Québec à partir du 6 mars. La section Panorama donne une large part aux films LGBTQ, mais donne aussi la chance de voir des films déjà présentés dans d’autres festivals. C’est le cas de _THE ASSISTANT_, l’excellent film de la réalisatrice américaine Kitty Green, une œuvre tournée dans la mouvance de #Metoo, qui en évite tous les écueils. Julia Gardner, dont c’est le premier rôle au grand écran, y joue le rôle de Jane, une jeune femme nouvellement engagée comme assistante du PDG d’une grande compagnie de cinéma à New York. Intelligente et efficace, Jane affronte avec courage son énorme charge de travail, les exigences de son patron et l’épouse hystérique de ce dernier. Elle découvre en même temps un système abusif pour les jeunes femmes que son patron fait appeler dans son bureau. La réalisatrice a choisi de montrer le visage de Gardner en très gros plan pendant une bonne partie du film. Bonne décision puisque la jeune actrice, avec retenue et justesse, montre l’angoisse qui envahie peu à peu Jane au cours de sa journée de travail, tandis que les situations abusives de ses collègues et de son patron érigent lentement un mur autourd’elle.
Toujours dans Panorama, nous avons vu _MARE_, d’Andrea Štaka, touchante histoire d’une mère de famille de Dubrovnik en Croatie, qui mène sa famille et son mariage avec détermination. Pilier de la famille, elle fait de son mieux pour guider son fils adolescent vers ses études. Mais tout pilier, si solide soit-il, peut avoir envie d’avoir des ailes ! Une interprétation sincère et touchante de l’actrice Marija Skaričić et une excellente direction d’acteur. Les scènes de famille sont particulièrement bien réussies. Enfin, un film documentaire qui recoupe deux sections, Panorama Documentaire et Génération, _ALWAYS AMBER_, _coming of age_ suédois de Lia Hietale et Hannah Reinikainen. Amber appartient à cette génération où le genre est fluide et qui refuse de se plier aux dictats du sexe et de l’appartenance de la société. Amber fait ses expériences d’amour et d’amitié et découvre le monde avec tendresse et curiosité. Le montage primesautier des images tournées en grande partie sur un téléphone, dépeint cependant bien cette génération d’expérimentation et de fluidité sexuelle qui est celle d’Amber et de ses comparses. Ne manquez pas demain la couverture de la remise des Ours !BONHEUR DU JOUR
Créé à partir d’un typo de notre collègue Malik Berkati le mot irrézizistible, qui se dit d’un type dont le pénis est irrésistible. La fatigue aidant, on devient quelque peu délirant !LENDEMAIN DE VEILLE
Que nous espérons bien avoir dimanche, après une nuit de (modeste) beuverie, suivant la remise des prix. Publié dans En couverture SÉQUENCES À LA BERLINALE 2020 JOUR 9 – IL Y A DU ARENDT DANS L’AIR ANNE-CHRISTINE LORANGER Undine de Christian Petzold En ce jour 9 de la Berlinale, on oursine sérieusement. Les films préférés semblent tourner autour d’_UNDINE_ de Christian Petzold, déjà honoré du prix de la presse cinématographique (FIPRESCI), _SCHWESTERLEIN_ de Stéphanie Chuat et Véronique Reymond, _NEVER RARELY SOMETIMES ALWAYS_ d’Éliza Hitman et _THE ROADS NOT TAKEN _de Sally Potter. _BERLIN ALEXANDERPLATZ _de Burhan Qurbani récolte pas mal de voix et _RIZI_ (Days) de Tsai Ming-liang a ses fans. En ce jour où on aurait aimé de jolis films faciles à appréhender, genre _PINOCCHIO_, l’horaire de la Compétition affichait _IRRADIÉS_ de Rithy Panh, un collage sur des images d’archives des guerres du XXe siècle, dont l’horreur n’a d’égale que la poésie. Effectuant des allers-retours entre la ferveur engendrée par les dictateurs et les conséquences horrifiques de leurs conflits, le cinéaste d’origine cambodgienne fait un montage d’une violence brutale sur ce que les guerres peuvent produire de pire. Le cinéaste ne nous ménage pas, même s’il mêle aux moments les plus difficiles des images d’une exquise délicatesse. Bref, 88 minutes éprouvantes mais sans doute nécessaires en cette époque où les dictateurs ont de nouveau la faveur. L’Iranien Mohammad Rasoulof nous a en Compétition donné un goût des essais de la philosophe allemande Hannah Arendt sur la banalité du mal avec _SHEYTAN VOJUD NADARAD_ (Il n’y a pas de mal), une juxtaposition de quatre court-métrages sur les exécutants de la peine capitale en Iran. Quatre essais qui se répondent les uns les autres et permettent une discussion sur le degré de responsabilité des gens qui exécutent les prisonniers emprisonnés par un régime de plus en plus dictatorial. La soumission à l’autorité y est ici le thème central. Ce même thème est exploité dans la perspective opposée avec _POLICE_ de la Française Anne Fontaine présenté dans la section Berlinale Special. Trois officiers de la police parisienne (Omar Sy, Virginie Efira et Grégory Gadebois) qui doivent conduire un immigrant illégal à l’aéroport pour son extradition vers le Tadjikistan, apprennent que cela signifie pour lui un arrêt de mort. Si un parfum d’Arendt flottait également sur ce film, on pense également à _I COMME ICARE_ (1979) de Henri Verneuil avec le regretté Yves Montand. Le film reproduisait l’expérience du psychologue Stanley Milgram en 1963, laquelle évaluait le degré d’obéissance d’un individu devant une autorité qu’il juge légitime. Pourquoi et comment des policiers dressés à obéir prendront-ils en effet la décision de sauver un pauvre type qui ne leur est rien et qui ne parle même pas leur langue? C’est subtil, bien fait au niveau cinématographique et merveilleusement joué par Sy, Sefira et Gadebois. Sy surtout, qui interprète un personnage au départ d’un machisme assez primaire, le laisse lentement découvrir comme un homme capable d’une grande profondeur.BONHEUR DU JOUR
Le sourire et l’intelligence d’Omar Sy en conférence de presse.LENDEMAIN DE VEILLE
Retrouver aux nouvelles la même ferveur aveugle dans les rallyes de Donald Trump que dans ceux du film de Rithy Panh. Cela fait froid dans le dos. Bouge-toi, Bernie! Publié dans En couverture Articles plus anciens PRIMEURS À MONTRÉAL SEMAINE DU VENDREDI 22 AU JEUDI 28NOVEMBRE 2019
Articles plus anciensEN KIOSQUE
ANTIGONE
No 320 | Octobre-Novembre-Décembre 2019EN LUMIÈRE
* _Le FCVQ 2019_
* _Fantasia 2019_
* _Présence autochtone 2019_ Articles plus anciensACCÈSCULTURE
* _Les Ballets Jazz de Montréal_ * _L’homme de la Mancha_ * _Le meilleur des mondes_ Articles plus anciensAGENDA
* _Cineplex-Hebdo _
* _Cineplex-Hebdo _
* _Cineplex-Hebdo _
Articles plus anciens 2020 © SÉQUENCES - La revue de cinéma - Tous droits réservés.Details
Copyright © 2023 ArchiveBay.com. All rights reserved. Terms of Use | Privacy Policy | DMCA | 2021 | Feedback | Advertising | RSS 2.0