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les quintessences.
POÉSIE ET POÈMES SUR PARIS S'étonnent : tu franchis la flamme expiatoire, Dans l'admiration des peuples, dans la gloire, Tu retrouves, Paris, bien plus que tu ne perds. Ceux qui t'assiègent, ville en deuil, tu les conquiers. La prospérité basse et fausse est la mort lente ; Tu tombais folle et gaie, et tu grandis sanglante. POÉSIE ET POÈMES : NATURE ET FORÊT Me lie à son char de fortunes. Que par toi beaucoup, ô Nature, – Ah moins seul et moins nul ! – je meure. Au lieu que les Bergers, c’est drôle, Meurent à peu près par le monde. Je veux bien que les saisons m’usent. A toi, Nature, je me rends ; Et ma faim et toute ma soif. Et, s’il te plaît, nourris, abreuve. POÉSIE ET POÈMES SUR LA MORT (+ DÉCÈS, OBSÈQUE, …TRANSLATE THISPAGE
Au-delà des soupirs. Je n’ai pu t’adresser un regard, un sourire, Tu es partie trop vite et sans me prévenir Immense est mon regret. Je voudrais te le dire Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence Sans cesse je remue de précieux souvenirs. Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. AUX FEUILLANTINES, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Aux Feuillantines, poème de Victor Hugo (Les contemplations) : Mes deux frères et moi, nous étions tout enfants. Notre mère disait: jouez, mais je défends Qu'on marche dans les fleurs et qu'on monte aux échelles. Abel était l'aîné, j'étais le plus petit. Nous mangions notre pain de si bon appétit, Que les femmes riaient quand nous passions près d'elles.Nous montions pour
TABLEAUX DE TAMARA DE LEMPICKA Éloge à Tamara de Lempicka « Tamara de Lempicka occupe une place à part dans l'art du XXe siècle : malgré une production peu abondante, ce sont ses peintures qui sont choisies le plus souvent aujourd'hui lorsqu'il s'agit d'illustrer les années folles de l'entre-deux-guerres. Ô GOUFFRE !, POÈME DE VICTOR HUGO Ô gouffre !, poème de Victor Hugo (Les contemplations) : Ô gouffre ! l'âme plonge et rapporte le doute. Nous entendons sur nous les heures, goutte à goutte, Tomber comme l'eau sur les plombs ; L'homme est brumeux, le monde est noir, le ciel est sombre ; Les formes de la nuit vont et viennent dans l'ombre ; Et nous, pâles, nouscontemplons.
Nous contemplons l'obscur, l'inconnu, l INDÉPENDANCE, POÈME DE SULLY PRUDHOMMETRANSLATE THIS PAGE Indépendance, poème de Sully Prudhomme (Stances Et Poèmes ) : Pour vivre indépendant et fort Je me prépare au suicide ; Sur l'heure et le lieu de ma mort Je délibère et je décide. Mon coeur à son hardi désir Tour à tour résiste et succombe :. J'éprouve un surhumain plaisir À me balancer sur ma tombe. Je m'assieds le plus près du bord Et m'y penche à perdre Ô SOLDATS DE L'AN DEUX !, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Ô soldats de l'an deux !, poème de Victor Hugo (Les châtiments) : Ô soldats de l'an deux ! ô guerres ! épopées ! Contre les rois tirant ensemble leurs épées, Prussiens, Autrichiens, Contre toutes les Tyrs et toutes les Sodomes, Contre le czar du nord, contre ce chasseur d'hommes Suivi de tous ses chiens, Contre toute l'Europe avecses capitaines,
Avec ses fantassins couvrant au PEINTURE - ETERNELS-ECLAIRS.FRTRANSLATE THIS PAGE A travers ses galeries, le site des Éternels Éclairs vous propose de découvrir ou redécouvrir les plus grands peintres. POÉSIE, POÈTES ET POÈMES DE LA LANGUE FRANÇAISETRANSLATE THIS PAGE « Il faut être voyant, se faire voyant. Le Poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. Toutes les formes d'amour, de souffrance, de folie ; il les cherche en lui-même, il épuise en lui tous les poisons, pour n'en garder queles quintessences.
POÉSIE ET POÈMES SUR PARIS S'étonnent : tu franchis la flamme expiatoire, Dans l'admiration des peuples, dans la gloire, Tu retrouves, Paris, bien plus que tu ne perds. Ceux qui t'assiègent, ville en deuil, tu les conquiers. La prospérité basse et fausse est la mort lente ; Tu tombais folle et gaie, et tu grandis sanglante. POÉSIE ET POÈMES : NATURE ET FORÊT Me lie à son char de fortunes. Que par toi beaucoup, ô Nature, – Ah moins seul et moins nul ! – je meure. Au lieu que les Bergers, c’est drôle, Meurent à peu près par le monde. Je veux bien que les saisons m’usent. A toi, Nature, je me rends ; Et ma faim et toute ma soif. Et, s’il te plaît, nourris, abreuve. POÉSIE ET POÈMES SUR LA MORT (+ DÉCÈS, OBSÈQUE, …TRANSLATE THISPAGE
Au-delà des soupirs. Je n’ai pu t’adresser un regard, un sourire, Tu es partie trop vite et sans me prévenir Immense est mon regret. Je voudrais te le dire Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence Sans cesse je remue de précieux souvenirs. Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. AUX FEUILLANTINES, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Aux Feuillantines, poème de Victor Hugo (Les contemplations) : Mes deux frères et moi, nous étions tout enfants. Notre mère disait: jouez, mais je défends Qu'on marche dans les fleurs et qu'on monte aux échelles. Abel était l'aîné, j'étais le plus petit. Nous mangions notre pain de si bon appétit, Que les femmes riaient quand nous passions près d'elles.Nous montions pour
TABLEAUX DE TAMARA DE LEMPICKA Éloge à Tamara de Lempicka « Tamara de Lempicka occupe une place à part dans l'art du XXe siècle : malgré une production peu abondante, ce sont ses peintures qui sont choisies le plus souvent aujourd'hui lorsqu'il s'agit d'illustrer les années folles de l'entre-deux-guerres. Ô GOUFFRE !, POÈME DE VICTOR HUGO Ô gouffre !, poème de Victor Hugo (Les contemplations) : Ô gouffre ! l'âme plonge et rapporte le doute. Nous entendons sur nous les heures, goutte à goutte, Tomber comme l'eau sur les plombs ; L'homme est brumeux, le monde est noir, le ciel est sombre ; Les formes de la nuit vont et viennent dans l'ombre ; Et nous, pâles, nouscontemplons.
Nous contemplons l'obscur, l'inconnu, l INDÉPENDANCE, POÈME DE SULLY PRUDHOMMETRANSLATE THIS PAGE Indépendance, poème de Sully Prudhomme (Stances Et Poèmes ) : Pour vivre indépendant et fort Je me prépare au suicide ; Sur l'heure et le lieu de ma mort Je délibère et je décide. Mon coeur à son hardi désir Tour à tour résiste et succombe :. J'éprouve un surhumain plaisir À me balancer sur ma tombe. Je m'assieds le plus près du bord Et m'y penche à perdre Ô SOLDATS DE L'AN DEUX !, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Ô soldats de l'an deux !, poème de Victor Hugo (Les châtiments) : Ô soldats de l'an deux ! ô guerres ! épopées ! Contre les rois tirant ensemble leurs épées, Prussiens, Autrichiens, Contre toutes les Tyrs et toutes les Sodomes, Contre le czar du nord, contre ce chasseur d'hommes Suivi de tous ses chiens, Contre toute l'Europe avecses capitaines,
Avec ses fantassins couvrant au POÉSIE ET POÈMES SUR LA FEMME Vers tous les malheureux la main toujours tendue, Si l’époux, si l’enfant à ce cœur ont puisé, Si l’espoir de plusieurs sur Elle est déposé, Femmes, enviez-la. Tandis que dans la foule. Votre vie inutile en vains plaisirs s’écoule, Et que votre cœur flotte, au hasard entraîné, Elle a sa foi, son but et son labeur donné POÉSIE ET POÈMES SUR LA MORT (+ DÉCÈS, OBSÈQUE, …TRANSLATE THISPAGE
Au-delà des soupirs. Je n’ai pu t’adresser un regard, un sourire, Tu es partie trop vite et sans me prévenir Immense est mon regret. Je voudrais te le dire Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence Sans cesse je remue de précieux souvenirs. Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. POÉSIE ET POÈMES CONTRE LA GUERRE Depuis six mille ans la guerre. Depuis six mille ans la guerre Plait aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs. Les conseils du ciel immense, Du lys pur, du nid doré, N'ôtent aucune démence Du coeur de l'homme effaré. Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. POÉSIE ET POÈMES SUR LE SOLEIL Ô soleil ! et des cieux, où ton char est porté, Tu lui verses la vie et la fécondité ! Le jour où, séparant la nuit de la lumière, L'éternel te lança dans ta vaste carrière, L'univers tout entier te reconnut pour roi ! Et l'homme, en t'adorant, s'inclina devant toi ! De ce jour, poursuivant ta carrière enflammée. LA SERVANTE AU GRAND CŒUR, POÈME DE CHARLES …TRANSLATE THIS PAGE La servante au grand cœur, poème de Charles Baudelaire (Les Fleurs du Mal) : La servante au grand cœur dont vous étiez jalouse, Et qui dort son sommeil sous une humble pelouse, Nous devrions pourtant lui porter quelques fleurs. Les morts, les pauvres morts, ont de grandes douleurs, Et quand Octobre souffle, émondeur des vieux arbres, Son vent mélancolique à l’entour de leurs TABLEAUX DE TAMARA DE LEMPICKA Éloge à Tamara de Lempicka « Tamara de Lempicka occupe une place à part dans l'art du XXe siècle : malgré une production peu abondante, ce sont ses peintures qui sont choisies le plus souvent aujourd'hui lorsqu'il s'agit d'illustrer les années folles de l'entre-deux-guerres. LA CHANSON DE GASPARD HAUSER, POÈME DE PAUL …TRANSLATE THIS PAGE La Chanson de Gaspard Hauser, poème de Paul Verlaine (Cellulairement) : Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquilles, Vers les hommes des grandes villes : Ils ne m’ont pas trouvé malin. À vingt ans un trouble nouveau Sous le nom d’amoureuses flammes M’a fait trouver belles les femmes : Elles ne m’ont pas trouvé beau. Bien que sans patrie et sans PUISQUE MAI TOUT EN FLEURS, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Puisque mai tout en fleurs, poème de Victor Hugo (Les chants du crépuscule) : Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame, Viens ! ne te lasse pas de mêler à ton âme La campagne, les bois, les ombrages charmants, Les larges clairs de lune au bord des flots dormants, Le sentier qui finit où le chemin commence, >Et l'air et le printemps et l'horizon immense,L'horizon que
BIRDS IN THE NIGHT, POÈME DE PAUL VERLAINETRANSLATE THIS PAGE Birds in the night, poème de Paul Verlaine (Romances sans paroles) : Vous n’avez pas eu toute patience : Cela se comprend par malheur, de reste. Vous êtes si jeune ! Et l’insouciance, C’est le lot amer de l’âge céleste ! Vous n’avez pas eu toute la douceur. Cela par malheur d’ailleurs se comprend ; Vous êtes si jeune, ô ma froidesœur,
Que votre cœur doit être À DES ÂMES ENVOLÉES, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE À des âmes envolées, poème de Victor Hugo (L'art d'être grand-père) : Ces âmes que tu rappelles, Mon coeur, ne reviennent pas. Pourquoi donc s'obstinent-elles, Hélas ! à rester là -bas ? Dans les sphères éclatantes, Dans l'azur et les rayons, Sont-elles donc plus contentes Qu'avec nous qui les aimions ? Nous avions sous les tonnelles Une maison près Saint-Leu.Nous montions pour
LA CHANSON DE GASPARD HAUSER, POÈME DE PAUL …TRANSLATE THIS PAGE La Chanson de Gaspard Hauser. Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquilles, Vers les hommes des grandes villes : Ils ne m’ont pas trouvé malin. À vingt ans un trouble nouveau. Sous le nom d’amoureuses flammes. M’a fait trouver belles les femmes : Elles ne m’ont pas trouvé beau. PUISQUE MAI TOUT EN FLEURS, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Puisque mai tout en fleurs, poème de Victor Hugo (Les chants du crépuscule) : Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame, Viens ! ne te lasse pas de mêler à ton âme La campagne, les bois, les ombrages charmants, Les larges clairs de lune au bord des flots dormants, Le sentier qui finit où le chemin commence, >Et l'air et le printemps et l'horizon immense,L'horizon que
INDÉPENDANCE, POÈME DE SULLY PRUDHOMMETRANSLATE THIS PAGE Indépendance, poème de Sully Prudhomme (Stances Et Poèmes ) : Pour vivre indépendant et fort Je me prépare au suicide ; Sur l'heure et le lieu de ma mort Je délibère et je décide. Mon coeur à son hardi désir Tour à tour résiste et succombe :. J'éprouve un surhumain plaisir À me balancer sur ma tombe. Je m'assieds le plus près du bord Et m'y penche à perdre Ô SOLDATS DE L'AN DEUX !, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Ô soldats de l'an deux !, poème de Victor Hugo (Les châtiments) : Ô soldats de l'an deux ! ô guerres ! épopées ! Contre les rois tirant ensemble leurs épées, Prussiens, Autrichiens, Contre toutes les Tyrs et toutes les Sodomes, Contre le czar du nord, contre ce chasseur d'hommes Suivi de tous ses chiens, Contre toute l'Europe avecses capitaines,
Avec ses fantassins couvrant au PEINTURE - ETERNELS-ECLAIRS.FRTRANSLATE THIS PAGE A travers ses galeries, le site des Éternels Éclairs vous propose de découvrir ou redécouvrir les plus grands peintres. POÉSIE, POÈTES ET POÈMES DE LA LANGUE FRANÇAISETRANSLATE THIS PAGE « Il faut être voyant, se faire voyant. Le Poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. Toutes les formes d'amour, de souffrance, de folie ; il les cherche en lui-même, il épuise en lui tous les poisons, pour n'en garder queles quintessences.
POÉSIE ET POÈMES SUR LA FEMME Vers tous les malheureux la main toujours tendue, Si l’époux, si l’enfant à ce cœur ont puisé, Si l’espoir de plusieurs sur Elle est déposé, Femmes, enviez-la. Tandis que dans la foule. Votre vie inutile en vains plaisirs s’écoule, Et que votre cœur flotte, au hasard entraîné, Elle a sa foi, son but et son labeur donné POÉSIE ET POÈMES ENGAGÉS Depuis six mille ans la guerre. Depuis six mille ans la guerre Plait aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs. Les conseils du ciel immense, Du lys pur, du nid doré, N'ôtent aucune démence Du coeur de l'homme effaré. Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. POÉSIE ET POÈMES SUR LA MER ET L'OCÉANTRANSLATE THIS PAGE La mer calme, la mer au murmure endormeur, Au large, tout là -bas, lente s’est retirée, Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, Au profond de son lit de nacre inviolé. Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage, Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé. AUX FEUILLANTINES, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Aux Feuillantines, poème de Victor Hugo (Les contemplations) : Mes deux frères et moi, nous étions tout enfants. Notre mère disait: jouez, mais je défends Qu'on marche dans les fleurs et qu'on monte aux échelles. Abel était l'aîné, j'étais le plus petit. Nous mangions notre pain de si bon appétit, Que les femmes riaient quand nous passions près d'elles.Nous montions pour
LA CHANSON DE GASPARD HAUSER, POÈME DE PAUL …TRANSLATE THIS PAGE La Chanson de Gaspard Hauser. Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquilles, Vers les hommes des grandes villes : Ils ne m’ont pas trouvé malin. À vingt ans un trouble nouveau. Sous le nom d’amoureuses flammes. M’a fait trouver belles les femmes : Elles ne m’ont pas trouvé beau. PUISQUE MAI TOUT EN FLEURS, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Puisque mai tout en fleurs, poème de Victor Hugo (Les chants du crépuscule) : Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame, Viens ! ne te lasse pas de mêler à ton âme La campagne, les bois, les ombrages charmants, Les larges clairs de lune au bord des flots dormants, Le sentier qui finit où le chemin commence, >Et l'air et le printemps et l'horizon immense,L'horizon que
INDÉPENDANCE, POÈME DE SULLY PRUDHOMMETRANSLATE THIS PAGE Indépendance, poème de Sully Prudhomme (Stances Et Poèmes ) : Pour vivre indépendant et fort Je me prépare au suicide ; Sur l'heure et le lieu de ma mort Je délibère et je décide. Mon coeur à son hardi désir Tour à tour résiste et succombe :. J'éprouve un surhumain plaisir À me balancer sur ma tombe. Je m'assieds le plus près du bord Et m'y penche à perdre Ô SOLDATS DE L'AN DEUX !, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Ô soldats de l'an deux !, poème de Victor Hugo (Les châtiments) : Ô soldats de l'an deux ! ô guerres ! épopées ! Contre les rois tirant ensemble leurs épées, Prussiens, Autrichiens, Contre toutes les Tyrs et toutes les Sodomes, Contre le czar du nord, contre ce chasseur d'hommes Suivi de tous ses chiens, Contre toute l'Europe avecses capitaines,
Avec ses fantassins couvrant au POÉSIE, POÈTES ET POÈMES DE LA LANGUE FRANÇAISETRANSLATE THIS PAGE « Il faut être voyant, se faire voyant. Le Poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. Toutes les formes d'amour, de souffrance, de folie ; il les cherche en lui-même, il épuise en lui tous les poisons, pour n'en garder queles quintessences.
POÉSIE ET POÈMES ENGAGÉS Depuis six mille ans la guerre. Depuis six mille ans la guerre Plait aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs. Les conseils du ciel immense, Du lys pur, du nid doré, N'ôtent aucune démence Du coeur de l'homme effaré. Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. POÉSIE ET POÈMES SUR PARIS S'étonnent : tu franchis la flamme expiatoire, Dans l'admiration des peuples, dans la gloire, Tu retrouves, Paris, bien plus que tu ne perds. Ceux qui t'assiègent, ville en deuil, tu les conquiers. La prospérité basse et fausse est la mort lente ; Tu tombais folle et gaie, et tu grandis sanglante. POÉSIE ET POÈMES SUR LA MER ET L'OCÉANTRANSLATE THIS PAGE La mer. Loin des grands rochers noirs que baise la marée, La mer calme, la mer au murmure endormeur, Au large, tout là -bas, lente s’est retirée, Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, Au profond de son lit de nacre inviolé Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage, Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé. POÉSIE ET POÈMES : NATURE ET FORÊT À Aurore. La nature est tout ce qu’on voit, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, Tout ce que l’on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui l’aime, Elle est juste quand on y croit Et qu’on la respecte en soi-même. Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t’aime. POÉSIE ET POÈMES SUR LA MORT (+ DÉCÈS, OBSÈQUE, …TRANSLATE THISPAGE
Au-delà des soupirs. Je n’ai pu t’adresser un regard, un sourire, Tu es partie trop vite et sans me prévenir Immense est mon regret. Je voudrais te le dire Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence Sans cesse je remue de précieux souvenirs. Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. POÉSIE ET POÈMES SUR LE SOLEIL Ô soleil ! et des cieux, où ton char est porté, Tu lui verses la vie et la fécondité ! Le jour où, séparant la nuit de la lumière, L'éternel te lança dans ta vaste carrière, L'univers tout entier te reconnut pour roi ! Et l'homme, en t'adorant, s'inclina devant toi ! De ce jour, poursuivant ta carrière enflammée. L'APRÈS MIDI D’UN FAUNE, POÈME DE STÉPHANE …TRANSLATE THIS PAGE L'après midi d’un Faune, poème de Stéphane Mallarmé (Oeuvres Poétiques I) : Le Faune : Ces nymphes, je les veux perpétuer. Si clair, Leur incarnat léger, qu'il voltige dans l'air Assoupi de sommeils touffus. Aimai-je un rêve ? Mon doute, amas de nuitancienne, s'achève
En maint rameau subtil, qui, demeuré les vrais Bois même, prouve, hélas ! que bien seul je m'offrais La moisson future aux sillons. Sa haute silhouette noire Les bouquins dans les écolesBougonneront.
Dansez, les petites belles,Toutes
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POÉSIE ET POÈMES SUR LA FEMME Vers tous les malheureux la main toujours tendue, Si l’époux, si l’enfant à ce cœur ont puisé, Si l’espoir de plusieurs sur Elle est déposé, Femmes, enviez-la. Tandis que dans la foule. Votre vie inutile en vains plaisirs s’écoule, Et que votre cœur flotte, au hasard entraîné, Elle a sa foi, son but et son labeur donné POÉSIE ET POÈMES ENGAGÉS Depuis six mille ans la guerre. Depuis six mille ans la guerre Plait aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs. Les conseils du ciel immense, Du lys pur, du nid doré, N'ôtent aucune démence Du coeur de l'homme effaré. Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. POÉSIE ET POÈMES SUR LA MER ET L'OCÉANTRANSLATE THIS PAGE La mer calme, la mer au murmure endormeur, Au large, tout là -bas, lente s’est retirée, Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, Au profond de son lit de nacre inviolé. Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage, Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé. AUX FEUILLANTINES, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Aux Feuillantines, poème de Victor Hugo (Les contemplations) : Mes deux frères et moi, nous étions tout enfants. Notre mère disait: jouez, mais je défends Qu'on marche dans les fleurs et qu'on monte aux échelles. Abel était l'aîné, j'étais le plus petit. Nous mangions notre pain de si bon appétit, Que les femmes riaient quand nous passions près d'elles.Nous montions pour
LA CHANSON DE GASPARD HAUSER, POÈME DE PAUL …TRANSLATE THIS PAGE La Chanson de Gaspard Hauser. Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquilles, Vers les hommes des grandes villes : Ils ne m’ont pas trouvé malin. À vingt ans un trouble nouveau. Sous le nom d’amoureuses flammes. M’a fait trouver belles les femmes : Elles ne m’ont pas trouvé beau. PUISQUE MAI TOUT EN FLEURS, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Puisque mai tout en fleurs, poème de Victor Hugo (Les chants du crépuscule) : Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame, Viens ! ne te lasse pas de mêler à ton âme La campagne, les bois, les ombrages charmants, Les larges clairs de lune au bord des flots dormants, Le sentier qui finit où le chemin commence, >Et l'air et le printemps et l'horizon immense,L'horizon que
INDÉPENDANCE, POÈME DE SULLY PRUDHOMMETRANSLATE THIS PAGE Indépendance, poème de Sully Prudhomme (Stances Et Poèmes ) : Pour vivre indépendant et fort Je me prépare au suicide ; Sur l'heure et le lieu de ma mort Je délibère et je décide. Mon coeur à son hardi désir Tour à tour résiste et succombe :. J'éprouve un surhumain plaisir À me balancer sur ma tombe. Je m'assieds le plus près du bord Et m'y penche à perdre Ô SOLDATS DE L'AN DEUX !, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Ô soldats de l'an deux !, poème de Victor Hugo (Les châtiments) : Ô soldats de l'an deux ! ô guerres ! épopées ! Contre les rois tirant ensemble leurs épées, Prussiens, Autrichiens, Contre toutes les Tyrs et toutes les Sodomes, Contre le czar du nord, contre ce chasseur d'hommes Suivi de tous ses chiens, Contre toute l'Europe avecses capitaines,
Avec ses fantassins couvrant au PEINTURE - ETERNELS-ECLAIRS.FRTRANSLATE THIS PAGE A travers ses galeries, le site des Éternels Éclairs vous propose de découvrir ou redécouvrir les plus grands peintres. POÉSIE, POÈTES ET POÈMES DE LA LANGUE FRANÇAISETRANSLATE THIS PAGE « Il faut être voyant, se faire voyant. Le Poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. Toutes les formes d'amour, de souffrance, de folie ; il les cherche en lui-même, il épuise en lui tous les poisons, pour n'en garder queles quintessences.
POÉSIE ET POÈMES SUR LA FEMME Vers tous les malheureux la main toujours tendue, Si l’époux, si l’enfant à ce cœur ont puisé, Si l’espoir de plusieurs sur Elle est déposé, Femmes, enviez-la. Tandis que dans la foule. Votre vie inutile en vains plaisirs s’écoule, Et que votre cœur flotte, au hasard entraîné, Elle a sa foi, son but et son labeur donné POÉSIE ET POÈMES ENGAGÉS Depuis six mille ans la guerre. Depuis six mille ans la guerre Plait aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs. Les conseils du ciel immense, Du lys pur, du nid doré, N'ôtent aucune démence Du coeur de l'homme effaré. Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. POÉSIE ET POÈMES SUR LA MER ET L'OCÉANTRANSLATE THIS PAGE La mer calme, la mer au murmure endormeur, Au large, tout là -bas, lente s’est retirée, Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, Au profond de son lit de nacre inviolé. Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage, Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé. AUX FEUILLANTINES, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Aux Feuillantines, poème de Victor Hugo (Les contemplations) : Mes deux frères et moi, nous étions tout enfants. Notre mère disait: jouez, mais je défends Qu'on marche dans les fleurs et qu'on monte aux échelles. Abel était l'aîné, j'étais le plus petit. Nous mangions notre pain de si bon appétit, Que les femmes riaient quand nous passions près d'elles.Nous montions pour
LA CHANSON DE GASPARD HAUSER, POÈME DE PAUL …TRANSLATE THIS PAGE La Chanson de Gaspard Hauser. Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquilles, Vers les hommes des grandes villes : Ils ne m’ont pas trouvé malin. À vingt ans un trouble nouveau. Sous le nom d’amoureuses flammes. M’a fait trouver belles les femmes : Elles ne m’ont pas trouvé beau. PUISQUE MAI TOUT EN FLEURS, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Puisque mai tout en fleurs, poème de Victor Hugo (Les chants du crépuscule) : Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame, Viens ! ne te lasse pas de mêler à ton âme La campagne, les bois, les ombrages charmants, Les larges clairs de lune au bord des flots dormants, Le sentier qui finit où le chemin commence, >Et l'air et le printemps et l'horizon immense,L'horizon que
INDÉPENDANCE, POÈME DE SULLY PRUDHOMMETRANSLATE THIS PAGE Indépendance, poème de Sully Prudhomme (Stances Et Poèmes ) : Pour vivre indépendant et fort Je me prépare au suicide ; Sur l'heure et le lieu de ma mort Je délibère et je décide. Mon coeur à son hardi désir Tour à tour résiste et succombe :. J'éprouve un surhumain plaisir À me balancer sur ma tombe. Je m'assieds le plus près du bord Et m'y penche à perdre Ô SOLDATS DE L'AN DEUX !, POÈME DE VICTOR HUGOTRANSLATE THIS PAGE Ô soldats de l'an deux !, poème de Victor Hugo (Les châtiments) : Ô soldats de l'an deux ! ô guerres ! épopées ! Contre les rois tirant ensemble leurs épées, Prussiens, Autrichiens, Contre toutes les Tyrs et toutes les Sodomes, Contre le czar du nord, contre ce chasseur d'hommes Suivi de tous ses chiens, Contre toute l'Europe avecses capitaines,
Avec ses fantassins couvrant au POÉSIE, POÈTES ET POÈMES DE LA LANGUE FRANÇAISETRANSLATE THIS PAGE « Il faut être voyant, se faire voyant. Le Poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. Toutes les formes d'amour, de souffrance, de folie ; il les cherche en lui-même, il épuise en lui tous les poisons, pour n'en garder queles quintessences.
POÉSIE ET POÈMES ENGAGÉS Depuis six mille ans la guerre. Depuis six mille ans la guerre Plait aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs. Les conseils du ciel immense, Du lys pur, du nid doré, N'ôtent aucune démence Du coeur de l'homme effaré. Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. POÉSIE ET POÈMES SUR PARIS S'étonnent : tu franchis la flamme expiatoire, Dans l'admiration des peuples, dans la gloire, Tu retrouves, Paris, bien plus que tu ne perds. Ceux qui t'assiègent, ville en deuil, tu les conquiers. La prospérité basse et fausse est la mort lente ; Tu tombais folle et gaie, et tu grandis sanglante. POÉSIE ET POÈMES SUR LA MER ET L'OCÉANTRANSLATE THIS PAGE La mer. Loin des grands rochers noirs que baise la marée, La mer calme, la mer au murmure endormeur, Au large, tout là -bas, lente s’est retirée, Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, Au profond de son lit de nacre inviolé Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage, Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé. POÉSIE ET POÈMES : NATURE ET FORÊT À Aurore. La nature est tout ce qu’on voit, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, Tout ce que l’on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui l’aime, Elle est juste quand on y croit Et qu’on la respecte en soi-même. Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t’aime. POÉSIE ET POÈMES SUR LA MORT (+ DÉCÈS, OBSÈQUE, …TRANSLATE THISPAGE
Au-delà des soupirs. Je n’ai pu t’adresser un regard, un sourire, Tu es partie trop vite et sans me prévenir Immense est mon regret. Je voudrais te le dire Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence Sans cesse je remue de précieux souvenirs. Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. POÉSIE ET POÈMES SUR LE SOLEIL Ô soleil ! et des cieux, où ton char est porté, Tu lui verses la vie et la fécondité ! Le jour où, séparant la nuit de la lumière, L'éternel te lança dans ta vaste carrière, L'univers tout entier te reconnut pour roi ! Et l'homme, en t'adorant, s'inclina devant toi ! De ce jour, poursuivant ta carrière enflammée. L'APRÈS MIDI D’UN FAUNE, POÈME DE STÉPHANE …TRANSLATE THIS PAGE L'après midi d’un Faune, poème de Stéphane Mallarmé (Oeuvres Poétiques I) : Le Faune : Ces nymphes, je les veux perpétuer. Si clair, Leur incarnat léger, qu'il voltige dans l'air Assoupi de sommeils touffus. Aimai-je un rêve ? Mon doute, amas de nuitancienne, s'achève
En maint rameau subtil, qui, demeuré les vrais Bois même, prouve, hélas ! que bien seul je m'offrais La moisson future aux sillons. Sa haute silhouette noire Les bouquins dans les écolesBougonneront.
Dansez, les petites belles,Toutes

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de Stéphen Moysan
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de Stéphen Moysan

Éternels Éclairs
Poésie
Peinture
BIENVENUE À QUI AIME LA POÉSIE « Il faut être voyant, se faire voyant. Le Poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. Toutes les formes d'amour, de souffrance, de folie ; il les cherche en lui-même, il épuise en lui tous les poisons, pour n'en garder que les quintessences. Ineffable torture où il a besoin de toute la foi, de toute la force surhumaine, où il devient entre tous : le grand malade, le grand criminel, le grand maudit, - et le suprême Savant ! Car il arrive à l'inconnu ! Puisqu'il a cultivé son âme, déjà riche, plus qu'aucun ! Il arrive à l'inconnu, et quand, affolé, il finirait par perdre l'intelligence de ses visions, il les a vues ! Qu'il crève dans son bondissement par les choses inouïes et innommables : viendront d'autres horribles travailleurs ; ils commenceront par les horizons où l'autre s'est affaissé ! » *_ Extrait de la Lettre du voyant,Arthur Rimbaud._
STÉPHEN MOYSAN
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